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Vers l'UNESCO...

Une Action patrimoniale d’envergure internationale

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LA CHANSON À LA FRANÇAISE

Une expression culturelle, patrimoniale, dont la singularité a plus que marqué l’histoire de son art, et qui participe à la fois du rayonnement de la francophonie et de la pérennité d’un art populaire vivant, s’étiole…
L’action  qui est menée aujourd’hui, s’avère être un projet de sauvegarde patrimoniale d’envergure nationale avec des retombées internationales :

Faire inscrire au Patrimoine Immatériel de l'Humanité de l'UNESCO la chanson à la française !

INITIATEUR DU PROJET ET DU MANIFESTE :

Antoine CAPELLA, Auteur - Compositeur - Interprète

L'association étant reconnue d’intérêt général, vos dons sont déductibles des impôts (voir texte officiel).

SIGNER LA PÉTITION

L’association culturelle Avant-Premières lance une pétition nationale

pour soutenir le projet de faire inscrire au Patrimoine Immatériel

de l’Humanité de l’UNESCO, la Chanson à la française.

ENVOYER VOS DONS

L’organisation de concerts-conférences pédagogiques ainsi que

la mise en place d’un festival, nécessitent un appel aux dons.

Merci par avance de votre générosité...

Les Pays de la Loire, au cœur de cette ambition

Le projet de grande envergure, et de moyen et long terme, qui est ici  présenté par l’Association Avant-Premières, est une action culturelle sans  précédent. Elle nécessite de fédérer les Institutions Locales et Régionales,  les entreprises, les associations ainsi que toutes les structure liées à cet  art (SACEMADAMI, FCM, SPEDIDAM, SPPF, SCPP). Positionner la Région des Pays de la Loire : ses Départements, ses Villes, ses Agglomérations et ses Communautés de Communes, en tant que co-porteurs d’un  projet patrimonial de cette dimension, confère un attachement à des valeurs qui, pour patrimoniales qu’elles soient, n’en demeurent pas moins étonnamment d’actualité socio culturelle.  

La positivité, l’originalité et l’envergure d’une telle action, son aspect  populaire, rassembleur, et son action significative pour le rayonnement de  la francophonie, ne peuvent qu’apporter des avantages en termes d’image  et de notoriété pour notre Région. Cela peut même devenir pour Elle : une  « force motrice » supplémentaire de communication ». Cet immense territoire ligérien est tout à fait légitime pour être le berceau de cette action. La Loire qui le  traverse n’est-il pas le « Fleuve France » ? Et la langue qui y est parlée ne  figure-t-elle pas parmi celles dont on loue la qualité de justesse et le  raffinement ?  

Indépendamment des atouts culturels présents sur notre Territoire Régional, et de la vivacité de sa densité artistique, indépendamment de la ferveur  populaire qu’inspirent les événements culturels créés dans notre région, ce cœur géographique de la France, possède en effet tous les caractères propres  à conférer une aura des plus nobles à ce projet. Les Pays de la Loire peuvent effectivement en attendre de nombreuses retombées bénéfiques…  

Alors, pour que brillent et rayonnent, au-delà de notre Panthéon National,  ces petits chefs-d’œuvre et leurs créateurs, il est temps de fédérer les  volontés, afin que l’UNESCO inscrive au Patrimoine Immatériel de  l’Humanité.

Résumé du Manifeste

À la question : « l’art est-il élitiste ou populaire ? » Antoine Vitez (grand homme de théâtre) répond : « L’art doit être élitaire pour tous ». Que nous dit cet oxymore au néologisme subtil et  engagé ? Qu’il eut, sa vie durant, le désir de concilier « la quête de création expérimentale » avec  un très haut niveau d’exigence artistique, et la noblesse d’une forme d’art populaire qui se situe  à l’opposé du « racolage » (où l’on va chercher à capter l’attention du plus grand nombre par des  « artifices d’efficacité », avec un objectif bien plus financier, qu’artistique : c’est la quête du  plus petit consommateur commun…). Ce populaire-là, certes parfois plus difficile d’accès, peut  néanmoins permettre à chacun, quel qu’il soit, d’entrer en résonance avec une expression qui,  loin de le considérer comme un simple consommateur d’activité scénique divertissante, l’invite  à sonder ce qu’il y a de beau, de meilleur, et de plus profond en lui. Ce souci constant de tirer  la pensée et le potentiel émotionnel de l’Être vers le haut, est la marque des créateurs de  conviction. Quelle que soit l’expression artistique choisie, ces artistes, à la sincérité sans  concession, ou presque, touchent autant la singularité de l’esprit : forme de quintessence  de la conscience ; que l’âme d’une unification culturelle citoyenne : celle qui, en chacun,  participe de ce continuum civilisationnel qui fonde notre volonté inconsciente de « faire peuple ».  

Quand le contexte économique n’est pas la seule « boussole créative », l’époque  développe une forme d’éthique motrice et fédératrice qui tend à sublimer ses arts.  Cette source féconde, inspirée par un attachement aux grandes traditions, fertilise  et élève implicitement l’inconscient et les projections visionnaires de ses créateurs.

En effet, dans le gisement de la culture humaine, la « chanson à la française » apparaît, à  l’instar de la Gastronomie française, comme une pépite culturelle authentique. Elle n’est pas  seulement de langue française. Sa singularité, au-delà du concept artistique et de l’exigence  de créateurs sans concession, parvient à révéler l’âme et l’esprit d’un peuple. Ses fondateurs  et interprètes ont su créer et développer un art qui a bouleversé les codes établis jusqu’alors.  Citons quelques principaux acteurs de cet art : Charles Aznavour, Barbara, Gilbert Bécaud,  Georges Brassens, Jacques Brel, Jean Ferrat, Léo Ferré, Serge Gainsbourg, Serge Lama, Yves  Montand, Claude Nougaro, Edith Piaf, Serge Reggiani, Charles Trenet, … 

Ses caractéristiques sont d’une évidence telle, qu’on reconnait immédiatement une chanson  à la française. Il y a autant de différence entre cette chanson-là, et une production d’un  « show-business worldsonguisé », qu’entre un meuble en chêne massif créé et patiné avec  amour par un ébéniste Compagnon du Tour de France, et un meuble Ikea clinquant… 

Les postulats de cette chanson-là, son génie, tout comme la ferveur qu’elle inspire, n’entrent  finalement que peu, dans la catégorie du « divertissement » (éthymologiquement : qui  détourne d’un « essentiel » – distraire – entertainment pour les américains) ou de ce que l’on  nomme « show » ou « variétés ». Elle est avant tout animée de vertus créatives tournées vers  « l’intime ». Elle va toucher ce qui en nous fait sens et fait « Peuple ». C’est une chanson qui  » s’écoute intérieurement », plus qu’elle ne nous entraine dans une extraversion corporelle. Elle porte souvent plus au recueillement qu’au délassement, même si elle fait parfois des incursions dans le champ  de la variété, du show et des « tubes »… Elle s’est installée à partir de la quête de créateurs  de conviction plus que de « marché », inspirés par le potentiel narratif et poétique de la  langue française. Le jeu subtil et harmonieux qu’ils ont établis, hors de la contrainte des  modes, entre le texte et la musique, fut le plus souvent porté, par des interprétations dont  la dramaturgie éclaira le « poétique ».

Elle a ainsi acquis la « noblesse d’un classicisme populaire ». 

Les artistes de cet art populaire ont imaginé une forme d’expression qui tient de la  quintessence. Ils sont français, québécois, belges ou suisses, auteurs et/ou compositeurs,  ou juste interprètes incarnant des textes remarquables que d’autres dans l’ombre ont  écrits, et auxquels cet art doit également beaucoup. Qu’ils se soient investis et immergés  totalement dans ce patrimoine par conviction, ou ne s’en soient approchés que par  une ou plusieurs chansons, ils ont contribué à son épanouissement. Nous en citerons ici  quelques-uns qui ont été ou sont encore dans la lumière : Allain Leprest, Romain Didier,  Daniel Lavoie, Jean Guidoni, Félix Leclerc, Georges Moustaki, Pierre Perret, Yves Duteil,  Michel Fugain, Joe Dassin, Jacques Higelin, Francis Cabrel, Michel Delpech, Juliette Gréco,  Gilles Vigneault, Bernard Lavilliers, Eddy Mitchell, Boris Vian, Philippe Clay, Leny Escudero,  Les Frères Jacques, William Sheller, Bobby Lapointe, Julien Clerc, Michel Polnareff, Francis  Lemarque, Renaud, Patachou, Cora Vaucaire, Catherine Sauvage, Colette Renard, Mouloudji,  Guy Béart, Alain Barrière, Maurice Fanon, Michel Legrand, Alain Souchon, Jean-Pierre Ferland,  Lynda Lemay, Jean-Roger Caussimon, Georges Chelon, Claude Léveillée, Juliette Reno, Michel  Berger, Michel Sardou, Jean Sablon, Juliette, Michel Jonasz, Maxime Leforestier, Daniel Guichard,  Jean Vallée, Dick Annegarn Yvan Dautin, Jean-Louis Bergère, Jamait, Jean-Jacques Debout, et  bien d’autres, peut-être moins, ou même, pas connus, qui œuvrent encore et toujours, pour  apporter leur contribution poétique, à cet art « d’artistes artisans »…

Cette singularité est aujourd’hui reconnue, et parfois même chantée, par le monde  entier. D’ailleurs ces créations n’émanent pas uniquement de la France… La Belgique  et le Québec, ont eu et ont encore, de ce point de vue une importance capitale dans  sa préservation et sa pérennité.  La « chanson à la française », tout comme notre théâtre classique, fait référence. Elle est entrée, tel un monument immatériel, dans notre inconscient collectif, et appartient  au continuum de l’Histoire culturelle et populaire de la France. Son classicisme est  entériné depuis longtemps.

Il fait d’elle un « objet culturel vivant » quasi « muséal».

Hélas, son particularisme, n’appartenant pas aux dictats actuels d’un « marché omnipotent », qui ne se nourrit exclusivement que de « chair fraiche formatée » et de productions au  potentiel mondialisant (marché oblige…), est, sinon en voie d’extinction, au moins en  voie de grande précarisation. Face à cette machine au rouleau compresseur mondialisé,  au modèle économique savamment marqueté, les « artisans/créateurs » de cette chanson là, bien que souvent géniaux, ne pouvaient et ne peuvent rivaliser…

Sa vocation culturelle,  qui participe de l’enrichissement de notre « fibre sensible patrimoniale », d’une réelle « intelligence poétique », d’une créativité si singulière, et du rayonnement tellement  touchant de notre langue, est hélas en voie d’obsolescence programmée.  

Pourtant, elle se raconte et nous raconte sans doute mieux qu’aucune autre forme  d’expression. Car elle aura enrichi « l’Horizon » de notre langue, autant que celui  de nos émotions, avec une poésie, et le plus souvent une dramaturgie, propre à son  « essence ». Par sa légèreté profonde qui touche en nous quelque chose d’inspirant,  et qui nous connecte à la singularité de notre nature culturelle, elle est sans aucun  doute un facteur d’épanouissement parmi les plus prégnants. Nous devons nous faire  un devoir de protéger ce « monument immatériel », de le transmettre afin qu’il  féconde d’autres inspirations qui en pérenniseront la singularité.  

Une phrase d’une chanson d’Allain Leprest* révèle l’esprit de cette chanson-là :  

«… C’est pour l’amour, pas pour la gloire, que je viens vous voir…» 

*Allain Leprest : artiste méconnu et pourtant immense représentant de cet art, véritable Rimbaud de la chanson à la française, auquel même Claude Nougaro, qui n’était pourtant pas tendre avec ses coreligionnaires, prêtait du génie poétique.

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Ce projet contient 2 axes, pour une même finalité :

L’AXE STRUCTUREL

Création d’une entité structurelle abritant ce projet et permettant le développement  de son action. L’on pourrait imaginer un site, certes plus humble, mais qui soit à la chanson, ce que la Comédie Française est au théâtre… Un ou plusieurs lieux créés à cette intention dans notre Région,  pourraient accueillir ses différents axes de développement.  

La mise en place de cette entité logistique permettra en outre, de fédérer et de  concentrer toutes les énergies porteuses, ainsi que toutes les volontés permettant  de faire aboutir ce projet : les Institutions (françaises, québécoises, belges, suisses),  les médias de France, toutes les structures professionnelles institutionnelles et  privées, les entreprises, les associations, les fondations, les artistes concernés, les  personnes et les structures de bonne volonté, et surtout également, les amoureux  de la chanson à la française.  

Ce(s) site(s), centre névralgique, que nous situons en Anjou, aura surtout en charge  d’ancrer tous les potentiels d’une base logistique administrative. Pour contribuer  au rayonnement de cet art, il devra, en outre, aussi pouvoir se définir comme  une « pépinière de talents ». Ce sera un creuset d’actions (répétitions, formations,  événements, …) œuvrant au rétablissement et à la pérennité de cet art et de la  langue française.

L’AXE FONCTIONNEL ÉVÉNEMENTIEL

Dès que possible, se tiendra un tout premier Festival. Sa durée : trois jours. Les lieux de cet  événement sont à définir. Point ou peu de grandes « stars » pour cet événement.  Si ce n’est le parrain. Ce seront les chansons, les seules vedettes de ce  moment intense. En effet, cet événement aura pour particularité de présenter sur scène,  un florilège de chansons extraites de ce patrimoine, ainsi que des créations issues de cette  tradition. Plusieurs séquences artistiques… Pour ce Festival, de nombreuses chorales régionales auront rendu, elles-aussi, hommage à ce patrimoine.  

Nota : Il est prévu que des actions (récitals, concerts grand public et interventions  scéniques pédagogiques en milieu scolaire, sous la forme de conférences spectacles)  et des tournées précédant le festival et y faisant suite, accueillent ce projet dont toutes  les scènes patrimoniales, de la plus grande à la plus petite, seront placées sous l’égide de  « Persistances ». Ainsi, le message infusera largement, et contribuera à insuffler une  dynamique porteuse d’effet fédérateur positivant la labellisation par l’UNESCO.  

Les artistes interprètes, les musiciens, les compositeurs, les auteurs, les orchestrateurs  qui se sont agglomérés au projet, sont tous au diapason de l’exigence qualitative et  créative de ce projet de scène. Nous avons placé la « barre qualitative très haut ! Jugez en, en lisant ci-après, les « bios » des trois intervenants principaux (les musiciens qui y participeront, sont sur ce même niveau de qualité).

UN TRIUMVIRAT ARTISTIQUE EXCEPTIONNEL, AU SERVICE DE LA CHANSON ET DE CE PROJET.

Tous animés par la même fibre passionnelle pour cet art populaire.

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Laurent Thibault

// Direction technique //

Il est tout simplement l’une des plus grandes références internationales  de ce métier, et est très heureux de participer à cette « cause » en  laquelle il croit :  

Il a dirigé, entre autres, durant onze ans, le très célèbre studio du Château d’Hérouville,  qui fut à une époque le « centre du monde de la chanson et de la Pop Music ». Des  enregistrements historiques y ont été réalisés. Tous les plus grands noms de la Pop music  mondiale et ceux de la chanson française, tenaient à enregistrer dans ce studio. Citons  en vrac : Elton John (3 albums), Tom Jones, T. Rex, David Bowie, les Bee Gees (album  Saturday Night Fever), Fleetwood Mac, Marvin Gaye, Nina Hagen, John Mc Laughling, etc.  Et bien sûr des artistes français tels que : Jacques Higelin, Claude Nougaro, Bernard  Lavilliers, Dan ar Braz, etc.  

Il a enregistré, mixé et masterisé à ce jour, environ 450 albums ! Son équipement studio :  2 consoles Harrison Série 12 – C’est aussi le créateur, avec Christian Vander, du groupe  Magma.

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Antoine Capella

// Artiste interprète, compositeur, percussionniste, créateur événementiel //

Antoine CAPELLA s’est produit plus de 4000 fois sur scène ! Devant des parterres de  50 à 4000 personnes (petits et grands événements pour des Groupes Internationaux  et Nationaux, Rotary Club, Lions Club, Fondations, Entreprises, Centres Culturels,  Associations, etc.).  

Il a enchanté presque tous les Casinos de France, séduit les petites et les grandes  salles lors de tournées. Nombres de châteaux en régions, et d’hôtels dans le monde,  parmi les plus prestigieux, lui ont fait confiance pour transcender leurs événements :  Monaco, Deauville, Tahiti, Bora-Bora, Jersey, etc.  Ses interprétations généreuses et sa présence scénique ont conquis les publics parmi les plus exigeants.

Il interprète tous les « Monuments » majeurs de la Chanson Française et les Standards  de jazz de la « variété » américaine (en tant qu’ancien batteur, il sait faire « groover »  ces standards). Si vous aimez les voix, les grandes voix, vous serez servis. Mais, au-delà  de la voix, c’est avant tout un interprète. Certaines chansons deviennent avec lui, de  vraies « dramaturgies ». Il incarne leur texte et rend vivants leurs personnages en les théâtralisant (il fut quelques temps professeur d’art dramatique à l’Université d’Angers).  

Ce sont de vrais moments de partage entre festivité et culture, entre réjouissances  et recueillement, qu’il met en scène de manière très conviviale.

Jean-Jacques Sage

// Musicien, compositeur, arrangeur, réalisateur //

Compositeur et arrangeur, Jean-Jacques Sage a travaillé avec des artistes parmi les plus représentatifs de la scène française et internationale. Parmi eux : Claude Nougaro, Boris Bergman, Tomuya Endo, Toufik Farrouck et Paris-Combo.

Compositeur pour la télévision (génériques « Vivement Dimanche » TF1, « Vie publique, vie privée » France 2) et le cinéma, Bande Originale du film « Antilles sur Seine » de Pascal Legitimus.

Il a produit également l’album « Loin » de Lambert Wilson et accompagné sur scène Vanessa Paradis, Jean-Louis Murat, J Halliday, F Pagny…

En 2020, il conçoit avec Julien Cabocel le spectacle musical Bazaar.

Depuis 2014, Jean-Jacques est aussi réalisateur et producteur… Démarrant son parcours à l’image par des séries de portraits d’écrivains pour la maison d’édition Albin Michel, il réalise la même année « Chronical of Possible world » avec l’artiste Jeff Mils. En 2016, dans le cadre d’un partenariat avec la start-up « Meludia », il réalise pour cette dernière des films documentaires à Londres, Malte et aux Iles Feroe. En collaboration avec plusieurs sociétés de productions, il réalise de nombreux films institutionnels et publicitaires – série « Street Art » pour la Société Générale, série de courts métrages pour l’assureur Allianz ainsi qu’une série de portraits de grands patrons du cac 40 pour le programme de formation professionnelle et coaching « Eve ».

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Simone Veil - Philosophe
« Un être humain a une racine par sa participation réelle, active et naturelle à l’existence d’une collectivité qui conserve vivants certains trésors du passé et certains pressentiments d’avenir. »
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